A l’initiative de l’African Business Club et l’ESCP Business School, j’étais aux côtés de Nine-Marie Djengou Ekeh, Choukrane Said, Frédéric Fougerat, Ornella Luabeya et Alexandre ALAWOE pour échanger sur les opportunités de carrière dans le secteur des industries culturelles et créatives en Afrique, en particulier dans les secteurs de l’art, la mode, le luxe, les médias et le divertissement.

Parmi les enseignements de ces échanges, la conviction qu’il faut davantage d’alliances entre les états, qui mettent en place des cadres législatifs encourageants, et le service privé, en particulier l’entrepreneuriat qu’encore trop de jeunes prennent comme voie par défaut, faute de trouver un emploi.
Pourtant, les ICC sont en pleine expansion et les compétences évidemment existent sur le continent. L’enjeu : former pour arrimer aux standards internationaux et accompagner dans la recherche d’emploi.

Et n’oublions pas : les ICC ne s’arrêtent pas à l’art et à la culture. Elles sont aussi un puissant outil de soft power et peuvent être déterminantes dans la promotion d’un état et sa politique de l’emploi, et donc centrales dans les stratégies de développement du continent.